"YS, par le Coran qui a valeur de décret, tu es assurément du nombre des envoyés, et tu es effectivement sur un droit chemin. Ceci est un ordre tout droit descendu de la part du Puissant, du Tout-Miséricordieux, afin que tu avertisses un peuple dont les pères n’ont pas été avertis, et les voilà donc dans l'insouciance. La Parole s’est déjà réalisée contre la plupart d’entre eux, par conséquent, ils ne croiront pas. Nous avons mis à leurs cous des carcans, qui leur sont remontés jusqu’aux mentons, et voilà qu'ils vont têtes dressées. Et, Nous avons mis devant eux une obstruction, et derrière eux une obstruction, puis Nous les avons recouverts, et voilà qu'ils n'y voient plus rien. Et, cela revient au même pour eux que tu les avertisses ou non, ils ne croiront de toute façon jamais. Tu dois seulement avertir celui qui tient compte du Rappel et qui craint le Tout-Puissant par-delà la barrière de l'invisible. Celui-là, annonce-lui donc un pardon et une généreuse récompense." Coran S36:V1-11
Aujourd’hui, la plupart des musulmans, aussi bien les pratiquants comme les non pratiquants, s’efforcent à ne consommer que de la viande dite “halal” (licite), ce qui leur créé bien des complications dans leurs interactions avec les non musulmans et les cantonnent uniquement aux produits estampillés “halal” par les organismes de certification islamiques. Mais est-ce le Coran qui a inventé un tel concept, ou est-ce à nouveau une invention de l’islam selon la soi-disant sounnah du prophète?
Une fois de plus, on retrouve le même égarement chez les juifs et les musulmans, les premiers avec leur concept de “casher” et les seconds avec celui de “halal”, ce qui n’est guère étonnant étant donné que tous deux se sont engagés dans la même fausse voie, consistant à suivre les traditions orales de leurs rabbins et oulémas mises par écrit dans le Talmud et les Hadiths, plutôt que ce que Dieu leur a fait descendre, à savoir la Torah et le Coran. Notez qu’on ne retrouve pas ce concept de “halal”/”casher” chez les chrétiens, car leur voie est totalement différente de celle des juifs et des musulmans, même s’ils ont leur propre égarement, et pas des moindres, consistant à adorer une Trinité plutôt que Le Dieu Unique et Indivisible.
Dieu a pourtant prévenu les musulmans dans le Coran de ne pas suivre la même voie que celle des Enfants d’Israël, mais ils n’en ont fait qu’à leurs têtes, faisant exactement le contraire de ce qui leur a été prescrit, et se sont donc tout logiquement retrouvés dans le même égarement profond.
Toute nourriture était licite aux enfants d’Israël, sauf celle qu’Israël lui-même s’interdit avant que ne descendît la Thora. Dis-[leur]: «Apportez la Thora et lisez-la, si ce que vous dites est vrai!» S3:V93
De même, toute nourriture était licite pour les musulmans, excepté ce que les musulmans se sont interdit à eux-mêmes, apportez donc la preuve du Coran si ce que vous dites est vrai!
Qu’est ce que le “halal”?
Au regard de l’islam, le terme “halal” désigne littéralement tout ce qui est licite pour le musulman. Dans la pratique, l’adjectif “halal” concerne généralement les aliments autorisés aux fidèles. Les viandes de tous les ovins, bovins, caprins et camelins sont admises, mais aussi celles de cheval, de volaille et de lapin. Tout ce qui provient de la mer est également toléré.
Le halal s’oppose à ce qui est “haram”, c’est-à-dire tout ce qui est interdit au musulman, comme la viande de porc.
Qu’est-ce que le rite d’abattage halal?
Pour qu’une viande soit déclarée halal, et donc propre à la consommation pour les musulmans, elle doit provenir d’une bête abattue selon une méthode rituelle précise, baptisée la “dhabiha”. En France, la “dhabiha” repose sur un certain nombre de principes :
La bête doit être vivante et avoir la tête orientée vers la Mecque.
Elle doit être consciente et ne pas être étourdie. Ce point suscite la polémique et est contesté par certains musulmans. Le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, s’est par exemple prononcé en faveur d’un étourdissement des bêtes avant leur abattage.
Le sacrificateur doit être musulman et habilité par un organisme religieux agréé par l’Etat. Lorsqu’il égorge la bête, il doit prononcer les paroles sacrées suivantes : “Bismillahi Al-Rahim oua Allahou Akbar” (“Au nom de Dieu le Miséricordieux, et Dieu est grand”).
L’égorgement doit être réalisé avec un couteau effilé pour faire une incision profonde et rapide. L’objectif est de couper les veines jugulaires et les artères carotides tout en évitant la moelle épinière, afin que les convulsions améliorent le drainage du sang. Le but de cette technique est de vider plus efficacement l’animal de son sang pour rendre la viande plus hygiénique.
D’où les musulmans tirent-ils toutes ces règles? Inutile de les chercher dans le Coran, car elles n’y figurent tout simplement pas pour la bonne et simple raison que ces règles ne sont que pures inventions des musulmans. On retrouve le même genre d’inventions chez les juifs également, sauf que ces derniers sont allés encore plus loin dans leurs mensonges, étant donné qu’ils ont commencé bien avant. Je vous conseille de lire l’intégralité de l’extrait ci-dessous afin de constater par vous-mêmes la ressemblance flagrante entre les fausses règles inventées par les juifs et celles inventées par les musulmans, et pour réaliser leur aberration et complexité extrême. J’ai ajouté en rouge mes propres remarques basées sur les vrais préceptes du Coran.
Qu’est-ce que l’alimentation casher?
Le terme hébraïque « casher » signifie littéralement « apte ». Il en est venu à prendre le sens d’« acceptable », ou de « permis ». Les lois de la Casherout définissent les aliments aptes à être consommés par un Juif.
Les bases de l’alimentation casher
Certaines espèces animales (ainsi que leurs œufs ou leur lait) sont autorisées à la consommation, alors que les autres sont interdites, notamment le porc et les fruits de mer.
La viande et le lait ne sont jamais mélangés. Des ustensiles différents sont utilisés pour leur préparation et leur consommation respectives. Un intervalle est respecté entre la consommation de l’un et de l’autre.
La viande doit provenir d’animaux abattus selon une procédure spécifique (et sans douleur) appelée che’hita, et certaines parties de l’animal (parmi lesquelles le sang) doivent être retirées.
Les fruits, les légumes et les céréales sont en général toujours cashers, mais doivent être exempts d’insectes. Le vin et le jus de raisins, cependant, doivent être certifiés cashers.
Dans la mesure où une petite quantité d’une substance interdite peut rendre un aliment non casher, tous les aliments produits industriellement et les établissements de restauration doivent être certifiés par un rabbin compétent ou par une agence de supervision de casherout.
L’origine et l’histoire de l’alimentation casher
Les lois de la Casherout ont été ordonnées par Dieu au peuple juif dans le désert du Sinaï. Moïse les a enseignées au peuple et en inscrivit les bases (comme pour les musulmans, on est aujourd’hui très très loin des “bases” que leur ont laissées leurs messagers. Rien que le terme de “bases” montre qu’ils n’ont rien compris, car ce ne sont pas des “bases” que les messagers ont laissé et que juifs et musulmans doivent compléter, mais ils ont laissé tout ce qui est à savoir selon ce que Dieu a fait descendre, et il n’y a donc strictement rien à y ajouter) dans le chapitre 11 du Lévitique et le chapitre 14 du Deutéronome. Les détails et particularités de ces lois ont été transmis oralement de génération en génération et finalement mis par écrit dans la Michna et le Talmud. À ces lois s’ajoutèrent diverses ordonnances édictées au fil des générations par les autorités rabbiniques comme « protection » des lois bibliques (de même les lois des musulmans ont été transmises de façon orale, de génération en génération, puis ont été mises par écrit dans les Hadiths, et à cela s’ajoutèrent toutes les ordonnances édictées par les savants musulmans).
À travers les 4000 ans de notre histoire, le respect de l’alimentation casher fut une marque de l’identité juive (de même le “halal” est en réalité une marque de l’identité musulmane. Musulmans et Juifs se distinguent tout particulièrement par leur communautarisme et sectarisme, ce qui a pour seul résultat de les isoler des autres et de faire qu’ils soient globalement rejetés). Peut-être plus que tout autre Mitsva, les lois de la Casherout soulignent que le Judaïsme est bien plus qu’une « religion » au sens conventionnel du terme. Pour un Juif, la sainteté n’est pas confinée aux lieux saints et aux moments solennels déconnectés de la vie quotidienne. Au contraire, la vie dans sa globalité est considérée comme une entreprise sacrée. Dès lors, même l’activité apparemment ordinaire que constitue l’alimentation est vécue comme un acte divin et de manière authentiquement juive.
Quels animaux sont cashers?
Les mammifères :Un mammifère est casher s’il possède des sabots fendus (cette règle est bel et bien issue de Dieu et ne leur a été imposée qu’après coup du fait de leur rébellion contre Dieu et en guise de punition divine: “Aux Juifs, Nous avons interdit toute bête à ongle unique. Des bovins et des ovins, Nous leurs avons interdit les graisses, sauf ce que portent leur dos, leurs entrailles, ou ce qui est mêlé à l’os. Ainsi les avons-Nous punis pour leur rébellion. Et Nous sommes bien véridiques”. S6:V146) et s’il est un ruminant. Il doit présenter ces deux signes. Par exemple : le bœuf, le mouton, la chèvre et le cerf sont cashers, alors que le porc, le lapin, l’écureuil, l’ours, le chien, le chat, le chameau et le cheval ne le sont pas.
La volaille : la Torah énumère 21 espèces d’oiseaux non-cashers, pratiquement tous des prédateurs ou charognards. Parmi les oiseaux cashers se trouvent par exemple les variétés domestiques de poulets, canards, oies, dindes et pigeons.
Les reptiles, amphibiens, vers et insectes :à l’exception de quatre sortes de sauterelles, ils ne sont pas cashers.
Les Poissons et les fruits de mer : une créature aquatique n’est casher que si elle a des écailles et des nageoires. Par exemple : le saumon, le thon, le brochet, la sole, la carpe, le hareng sont cashers, alors que le poisson-chat, l’esturgeon, l’espadon, le homard, les crustacés, les coquillages et tous les mammifères marins ne le sont pas (voilà encore des règles inventées).
L’abattage et la boucherie de la viande casher
Les mammifères et la volaille cashers sont abattus selon un procédé spécial appelé Che’hita lors duquel la gorge de l’animal est tranchée rapidement, avec précision et sans douleur au moyen d’un couteau parfaitement aiguisé (appelé un ‘halaf) par un Cho’het : un abatteur rituel hautement qualifié, craignant Dieu et scrupuleux dans l’accomplissement des Mitsvot. (On retrouve la même règle inventée chez les musulmans, qui stipulent que celui qui égorge la bête doit être musulman, or il n’existe aucune règle dans le Coran qui impose cela.).
Ce n’est pas la personne qui accomplit le sacrifice qui compte, mais plutôt la façon dont l’animal est sacrifié et la nature de l’animal.
Un animal qui meurt ou qui est tué par un quelconque autre moyen n’est pas casher. Il est également strictement interdit de consommer de la chair prélevée sur un animal alors qu’il est encore vivant (cette interdiction fait partie des Sept Lois Noa’hides universelles et est la seule loi de casherout qui s’applique aux non-juifs comme aux juifs).
Après l’abattage, les organes internes du bétail sont examinés pour vérifier la présence éventuelle de maladies mortelles ou de blessures, telles que des adhésions (sirkhot) dans les poumons ou des trous dans l’estomac. La présence d’un seul défaut parmi les dizaines cas possibles de treifot (c’est ainsi que ces défauts sont appelés) répertoriés, rend l’animal tout entier non casher.
Le Nikour (« éveinage ») consiste à retirer certaines veines et certaines graisses interdites chez le bétail (on retrouve cet interdit dans le Coran et il est spécifique aux juifs en guise de punition pour leur rébellion:“Nous leurs avons interdit les graisses, sauf ce que portent leur dos, leurs entrailles, ou ce qui est mêlé à l’os. Ainsi les avons-Nous punis pour leur rébellion. Et Nous sommes bien véridiques”. S6:V146). Celles-ci sont très présentes dans les parties arrières de l’animal, et, étant donné la complexité de l’opération consistant à les extraire, cette partie de l’animal n’est généralement pas vendue dans le circuit casher.
Pour un dossier complet sur la Che’hita, cliquez ici.
Le retrait du sang
La consommation du sang des mammifères comme de la volaille est explicitement défendue par la Torah. Dans les 72 heures qui suivent l’abattage, tout le sang est drainé de la viande à travers un processus de trempage et de salage appelé « cashérisation ». (Aujourd’hui, la majorité de la viande casher est vendue déjà « cashérisée ».)
Le foie, qui contient une très grande quantité de sang, doit subir un processus de grillage particulier pour pouvoir être consommé.
(Cette pratique n’a rien d’une obligation religieuse, mais était simplement la méthode usuelle utilisée dans le passé pour conserver la viande et limiter la prolifération de bactéries. Ce que Dieu a interdit c’est de boire le sang liquide comme cela est pratiqué par les païens. Le peu de sang qui reste mêlé à la viande ne rentre aucunement dans ce cas de figure, il n’y a donc pas lieu d’aller aussi loin. De toute façon, pour des raisons sanitaires, l’animal est égorgé et son sang est systématiquement drainé immédiatement après sa mort dans tous les abattoirs, qu’ils soient casher/halal ou non. Lire cette page.)
Le lait, les œufs et le miel
Un principe fondamental que cite le Talmud est : ce qui provient d’un animal casher est casher ; ce qui provient d’un animal non-casher n’est pas casher.
Ainsi, le lait et les œufs ne sont cashers que dans la mesure où ils proviennent d’animaux cashers. De plus, les œufs doivent être soigneusement examinés pour s’assurer qu’ils ne présentent pas de taches de sang.
Le miel n’est pas considéré comme étant un produit animal, de sorte que le miel est casher, bien que les abeilles ne le soient pas.
(Voilà le genre de réflexions absurdes et sans fin dans lesquelles on s’engage quand on décide de suivre ses propres règles plutôt que celles de Dieu)
Séparer le lait et la viande
La viande et le lait ne sont jamais combinés. Des ustensiles séparés sont employés pour chacun et un temps d’attente est observé entre la consommation de l’un et de l’autre. (voilà encore une pure invention qui n’a pour but que de compliquer un peu plus la vie déjà très compliquée des juifs assidus)
La nourriture casher est ainsi divisée en trois catégories :
« Viande » inclut la viande ou les os des mammifères ou de la volaille, des bouillons ou des sauces qui en contiennent, et toute nourriture en contenant même la plus petite quantité.
« Lait » inclut le lait de tous les animaux cashers, tous les produits laitiers dont il est la base (crème, beurre, fromages, etc) et tout aliment en contenant même la plus petite quantité.
Les aliments « Parevé » ne sont ni « viande », ni « lait ». Les œufs sont parevé, de même que tous les fruits, les légumes et les céréales. Les aliments parevé peuvent être mélangés et consommés aussi bien avec des aliments « viande » que des aliments « lait ». (Le poisson est parevé, mais n’est pas mangé avec de la viande du fait des risques pour la santé rapportés dans le Talmud.)
(On peut continuer à l’infini comme ça quand on cherche la complication et à suivre les fausses règles inventées des ancêtres plutôt que de suivre ce que Dieu a fait descendre)
Les produits agricoles
Les fruits, les légumes et les céréales sont normalement toujours cashers, mais ils doivent être dépourvus d’insectes (Voilà encore une fausse règle inventée. Si on tombe sur un insecte en mangeant un fruit ou légume, il suffit tout simplement de l’enlever, car le jeter n’est que pur gâchis, ce qui est interdit par Dieu).
Les produits du sol cultivés en Israël doivent obéir à certaines spécifications en matière de casherout. Les « dîmes » doivent être prélevées pour qu’on puisse les consommer, les fruits des trois premières années après la plantation d’un arbre (« orlah ») sont interdits et des lois particulières régissent la production de la Chemitah, l’année sabbatique (Allah interdit le gaspillage, il faut donc consommer ces fruits et ne surtout pas les laisser moisir sur place ou les cueillir juste pour les jeter).
C’est pourquoi les produits agricoles d’Israël ne doivent être achetés que s’ils portent une certification casher valable. Les produits agricoles d’autre provenance sont acceptables, mais certains doivent être vérifiés pour s’assurer qu’ils ne contiennent pas d’insectes. Cela peut varier selon les provenances et selon les saisons, selon le degré d’infestations des récoltes.
‘Halav Israël (le lait juif)
Les lois de la casherout stipulent que tous les produits laitiers doivent être ‘Halav Israël (littéralement « lait juif ») : un Juif religieux doit être présent depuis la traite jusqu’à la fin de la production pour s’assurer que seul du lait provenant d’animaux cashers est employé.
Dans certains pays occidentaux, comme les États-unis, il est illégal de vendre du lait d’animaux non-cashers sous le nom de « lait ». Certaines autorités halakhiques permettent ainsi de consommer du lait qui n’est pas ‘Halav Israël – lorsque le lait ‘Halav Israël n’est pas disponible – et de considérer que les inspections gouvernementales sont une assurance suffisante. D’autres, cependant, soulignent que, outre les raisons techniques de cette loi, il y a également des raisons spirituelles à consommer seulement du « lait juif ». Tous s’accordent à dire qu’il est préférable de ne consommer que du ‘Halav Israël.
(La complication entraine davantage de complication, ce qui explique comment les juifs ont pu en arriver là aujourd’hui)
Aliments « juifs »
Dans une série d’ordonnances rabbiniques instituées comme barrières contre les mariages mixtes et l’assimilation, les Sages ont interdit la consommation du vin, du pain et des aliments cuits d’un non-juif, même si ceux-ci ne contiennent pas d’ingrédients non-cashers.
Bichoul Israël (cuisson par un Juif)
L’interdiction de la nourriture cuite par un non-juif s’applique dans les cas suivants : a) c’est une nourriture qui ne peut être consommée crue ; b) c’est une nourriture importante, « digne d’être servie à la table d’un roi. »
Pat Israël (pain juif)
L’interdiction du pain non-juif concerne le pain fait chez un particulier, non celui préparé dans une boulangerie. Toutefois, il est de coutume dans de nombreuses communautés de consommer du Pat Israël (« pain juif ») plutôt que de s’autoriser cette tolérance. (D’autant que certaines farines industrielles sont additionnées d’améliorants contenant des substances non-cashers.)
Si un Juif participe d’une quelconque manière au processus de cuisson (par exemple, en allumant le four), la nourriture cuite est autorisée. La tradition séfarade exige que la nourriture soit placée sur le feu par un Juif.
Vin juif
Le vin ou le jus de raisin doivent impérativement être certifiés cashers. Parce que le vin était employé dans le service sacré du Saint Temple – et parce qu’il peut être profané par son usage dans des rites païens – la Torah exige que seul le vin produit par des Juifs religieux soit consommé.
(Quand on s’engage dans ce genre de fausse voie, on s’enfonce toujours plus loin dans l’égarement et l’aberration. Si les musulmans persistent dans leur fausse voie actuelle, ils risquent de finir avec les mêmes règles complexes et absurdes que celles des juifs aujourd’hui).
Des vaisselles séparées
Même une petite trace d’une substance non-casher – aussi petite que 1/60ème (1,66 pour cent) du volume du plat et, dans certains cas, encore moins que ça – rend une nourriture casher non-casher. De la même manière, les ustensiles qui entrent en contact avec une nourriture chaude en absorbent le « goût » et le transmettent ensuite aux autres aliments. (c’est sans fin… et tous ceux qui s’engagent dans cette même voie, à l’image des musulmans, se compliqueront de plus en plus la vie avec des règles de plus en absurdes et dénuées de bon sens).
Par exemple, un pain cuit sur une plaque métallique enduite avec une matière grasse contenant un petit pourcentage de lard, des jus de fruits pasteurisés dans les même machines que du lait non-casher, ou un plat végétarien préparé dans la cuisine d’un restaurant avec des ustensiles employés pour un plat non-casher un peu plus tôt : tous ces aliments ne seront pas cashers si la proportion d’élément interdit dépasse le pourcentage autorisé.
(on retrouve ce genre de fausses règles aussi chez les musulmans les plus extrêmes qui refusent par exemple de manger avec un ustensile qui a touché du porc, ou de manger dans un restaurant qui sert de l’alcool, ou de s’assoir à une même table que quelqu’un qui y consomme de l’alcool ou y mange du porc… etc etc)
C’est pour cette raison que des vaisselles séparées sont utilisées pour la viande et le lait et qu’une certification casher fiable est nécessaire pour les aliments manufacturés ou préparés en dehors de chez soi.
Même le plus infime résidu ou « goût » d’une substance non-casher rendra un aliment non casher. C’est pourquoi il n’est pas suffisant d’acheter de la nourriture casher. La cuisine, elle aussi, doit être « casher », c’est-à-dire que tous les ustensiles de cuisson et les surfaces de préparation sont utilisés exclusivement pour des aliments cashers et que des réchauds, casseroles, couverts, plats, nappes et plans de travail différents sont employés pour le lait et la viande.
Un principe de base est que lorsqu’un aliment chaud entre en contact avec un autre aliment ou un ustensile, l’aliment ou l’ustensile en absorbera le « goût ». Des aliments ou ustensiles froids peuvent, dans certaines circonstances (lorsque l’aliment est épicé ou salé, est coupé avec un couteau ou demeure dans l’ustensile pendant une certaine période), également transmettre leur « goût ». Ainsi, des aliments préparés dans une cuisine ou une usine dans laquelle de la nourriture non-casher est aussi préparée seront invariablement non-cashers également (à moins que le goût absorbé dans les ustensiles, surfaces, etc, soit d’abord extrait par un procédé spécial de « cachérisation »).
(Y-a-t-il encore besoin d’ajouter quelque chose? Ces règles vous semblent-elles venir de Dieu? En tout cas, elles ne sont ni citées dans la Torah ni dans le Coran. Vous avez donc votre réponse.)
La certification casher
La complexité des technologies agroalimentaires actuelles fait que seul un expert en ce domaine est à même de déterminer si un aliment produit industriellement est dépourvu de toute trace d’ingrédients non-cashers. C’est pourquoi tous les aliments manufacturés et les établissements de restauration doivent bénéficier de la certification d’un rabbin ou d’une agence de supervision casher fiable.
Vérifiez que vous trouvez sur les étiquettes des emballages et les certificats de casherout des restaurants et hôtels un symbole de casherout d’une autorité reconnue.
(On retrouve chez les musulmans la certification “halal”. Un petit groupe d’entreprises comme la société AVS se gavent avec ce marché juteux, qui leur permet de tirer de grands profits sans amener la moindre valeur ajoutée. Beaucoup se lancent dans le business du halal car cela leur permet de vendre au prix fort des marchandises de piètres qualités, et leur assure un revenu minimum étant donné que les musulmans n’ont d’autre choix que de consommer halal. Aujourd’hui, quand vous achetez un produit estampillé “halal” en supermarché, comme par exemple des hamburgers, pizzas, saucissons, plats avec de la viande, ce label est un gage extrêmement fiable avant tout de mauvaise qualité, tout en vous faisant payer le prix d’un produit haut de gamme. Le “halal” tout comme le “casher” ne sont que des inventions des juifs et des musulmans, et le business qui les entoure n’est qu’une vaste arnaque. Vous pouvez également lire cet article ou celui-là pour vous en persuader.).
Des sociétés comme AVS s’enrichissent sur le dos de la religion, ce qui est vraiment détestable. Ils ne font que brasser de l’air et n’apportent aucune valeur ajoutée si ce n’est de prendre leur marge sur tous les produits qu’ils estampillent “halal”. Il y a juste à visiter leur site pour réaliser à quel point ce sont des imposteurs.
Aujourd’hui, le label “halal” est un gage très fiable de mauvaise qualité, tout en étant sûr de payer le prix fort.
Cela est très pratique d’ajouter la mention “Halal” sur la devanture de son commerce, cela permet d’avoir une clientèle assurée, celle des musulmans qui n’ont d’autres choix que de consommer “halal” d’après leurs règles inventées.
Tout est dit dans le titre de cet article. Quand on suit l’égarement, on ne peut s’attendre qu’à des problèmes, et on le mérite bien.
Juifs et musulmans ont créé leurs propres règles inventées et associent à Allah leurs rabbins, oulémas, et autres dignitaires religieux, alors qu’Allah ne leur a demandé qu’une seule chose: c’est de l’adorer Lui Seul sans lui associer rien ni personne, et de ne suivre que ce qu’Il a fait descendre. Les fausses règles des juifs et des musulmans ne reposent en réalité sur rien, car elles ne sont ni issues de la Torah ni du Coran, mais ne sont que purs mensonges inventés et conjectures.
Aux Juifs, Nous avons interdit toute bête à ongle unique. Des bovins et des ovins, Nous leurs avons interdit les graisses, sauf ce que portent leur dos, leurs entrailles, ou ce qui est mêlé à l’os. Ainsi les avons-Nous punis pour leur rébellion. Et Nous sommes bien véridiques. Puis, s’ils te traitent de menteur, alors dis: «Votre Seigneur est Détenteur d’une immense miséricorde cependant que Sa rigueur ne saura être détournée des gens criminels».Ceux qui ont associé diront: «Si Allah avait voulu, nous ne Lui aurions pas donné des associés, nos ancêtres non plus et nous n’aurions rien déclaré interdit.» Ainsi leurs prédécesseurs traitaient de menteurs (les messagers) jusqu’à ce qu’ils eurent goûté Notre rigueur. Dis: «Avez-vous quelque science à nous produire? Vous ne suivez que la conjecture et ne faites que mentir». S6:V146-148
Mais alors qu’est-il licite de consommer selon le Coran? Bien évidemment, le Coran ne va pas lister chaque aliment individuellement, contrairement à ce qu’ont essayé de faire les juifs sans succès. De façon générale, Dieu autorise de consommer tout ce qui respecte ces 3 critères:
Licite, c’est à dire ce qui a été acquis de façon honnête.
Bon, c’est à dire ce qui n’est pas nocif pour la santé du consommateur.
Pur, c’est à dire qui n’est pas une souillure du Diable, à savoir les aliments voués à autre que Dieu.
Et mangez de ce qu’Allah vous a attribué de licite et de bon. Craignez Allah, en qui vous avez foi. S5:V88
O Messagers! mangez de ce qui est permis et agréable et faites du bien. Car Je sais parfaitement ce que vous faites. S23:V51
Mangez donc de ce qui vous est échu en butin, tant qu’il est licite et pur. Et craignez Allah, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. S8:V69
Mangez donc de ce qu’Allah vous a attribué de licite et de bon. Et soyez reconnaissants pour les bienfaits d’Allah, si c’est Lui que vous adorez. S16:V114
O gens! De ce qui existe sur la terre; mangez le licite pur; ne suivez point les pas du Diable car il est vraiment pour vous, un ennemi déclaré. S2:V168
En terme de viande, le Coran met tout particulièrement en avant la viande de bétail, ce qui nous suggère implicitement que c’est le type de viande recommandée à la consommation par Dieu.
Voilà [ce qui doit être observé] et quiconque prend en haute considération les limites sacrées d’Allah cela lui sera meilleur auprès de son Seigneur. Le bétail, sauf ce qu’on vous a cité, vous a été rendu licite. Abstenez-vous de la souillure des idoles et abstenez-vous des paroles mensongères. S22:V30
La viande de bétail est effectivement la principale viande consommée dans les pays de traditions héritées des religions du Livre, contrairement aux pays de traditions païennes qui consomment des viandes improbables comme la viande de chien, chat, serpent, singe, …, et autres animaux et insectes qui donnent peu envie.
Dans les pays de traditions païennes comme par exemple la Chine, les gens mangent de la viande de chien et bien d’autres animaux peu ragoutants. Voilà le prix de l’égarement.
Même si rien dans le Coran n’interdit de consommer ces viandes, il ne viendrait pas à l’esprit d’aucune personne bien guidée de consommer de la viande d’espèces aussi peu ragoutantes, dont la chair est clairement moins noble, moins gouteuse et raffinée que celle du bétail qu’Allah a spécialement créé à cet effet.
Et les bestiaux, Il les a créés pour vous; vous en retirez des [vêtements] chauds ainsi que d’autres profits.Et vous en mangez aussi. S16:V5
Allah interdit de manger la viande de la bête morte pour des raisons sanitaires aujourd’hui évidentes: en raison des bactéries qui se multiplient en grand nombre à la mort de l’animal si sa viande n’est pas immédiatement traitée de façon adéquate, à savoir vidée de son sang et stockée en chambre froide ou séchée. De plus, l’animal doit être mis à mort dans des conditions dignes afin de ne pas le faire souffrir, car Dieu interdit de faire souffrir tout être vivant gratuitement, et parce que cela influe aussi fortement sur la qualité de la viande. En effet, la viande d’un animal qui meurt dans de mauvaises conditions va stocker des toxines mauvaises pour la santé des hommes.
Vous sont interdits la bête trouvée morte, le sang, la chair de porc, ce sur quoi on a invoqué un autre nom que celui d’Allah, la bête étouffée, la bête assommée ou morte d’une chute ou morte d’un coup de corne, et celle qu’une bête féroce a dévorée – sauf celle que vous immolez avant qu’elle ne soit morte -. (Vous sont interdits aussi la bête) qu’on a égorgé sur les pierres dressées, ainsi que de procéder au partage par tirage au sort au moyen de flèches. Car cela est perversité. […] S5:V3
Aujourd’hui, le débat en islam pour dire si l’étourdissement de l’animal avant son égorgement est licite ou non n’a en réalité rien à voir avec le verset ci-dessus, qui ne fait que nous inviter à ne pas manger la viande de la bête retrouvée morte en pleine nature, car sa chair représente un véritable poison. Dans un abattoir, cela ne change rien que l’animal meure ou non de cet étourdissement, sachant que l’objectif premier n’est pas de le tuer via ce procédé, mais juste de l’assommer pour immédiatement l’égorger après et ainsi le vider de tout son sang. Cette méthode utilisée dans tous les abattoirs non halal ne va donc pas rendre la viande illicite, et ne va en rien contre la prescription du verset ci-dessus, qui ne concerne que la bête morte retrouvée dans la nature, et non pas la bête qu’on étourdit (cela arrive qu’elle en meurt et ce n’est pas grave) dans le but de l’égorger immédiatement après. Cela montre une fois de plus que les musulmans ne comprennent rien aux versets du Coran, car ils comprennent la lettre sans l’esprit, ce qui ne leur permet pas d’en tirer les vrais préceptes. Cette technique de l’étourdissement a pour avantage que l’animal ne bouge pas au moment de sa mise à mort, ce qui permet à l’animal non seulement de ne pas avoir peur mais aussi de ne ressentir aucune douleur. Cette méthode est même indispensable quand il s’agit d’abattre de grosses bêtes comme les vaches, ce qui n’a pas l’air d’empêcher les musulmans de consommer de la viande bovine.
Ils t’interrogent sur ce qui leur est permis. Dis: «Vous sont permises les bonnes nourritures, ainsi que ce que capturent les carnassiers que vous avez dressés, en leur apprenant ce qu’Allah vous a appris. mangez donc de ce qu’elles capturent pour vous et prononcez dessus le nom d’Allah. Et craignez Allah. Car Allah est, certes, prompt dans les comptes. «Vous sont permises, aujourd’hui, les bonnes nourritures. Vous est permise la nourriture des gens du Livre, et votre propre nourriture leur est permise. […] S5:V3-5
Dieu n’a pas instauré un code alimentaire propres aux juifs et aux musulmans appelé “casher” pour les uns et “halal” pour les autres, mais a simplement légiféré un ensemble de règles universelles qui s’appliquent indifféremment à tous les hommes: ne pas consommer la viande de la bête morte, ne pas faire souffrir l’animal avant sa mise à mort, ne pas consommer la viande de la bête sacrifiée pour autre que Dieu (je reviendrai sur ce point un peu plus en détail plus loin). Les règles inventées des juifs et des musulmans divisent les hommes, portent préjudice à ceux qui les mettent en œuvre, et sont totalement absurdes, ce qui est bien le signe qu’elles sont issues du Diable et non pas de Dieu. On reconnait un arbre à ses fruits, et on peut clairement voir que les concepts de “casher” et de “halal” ne causent que des problèmes aux juifs et aux musulmans sans leur apporter le moindre bénéfice. En effet, manger “casher” ou “halal” n’est pas plus sain que de manger de la viande standard, voire même le contraire, car les viandes casher ou halal sont souvent de piètre qualité afin de compenser les coûts exorbitants de leur certification et par le fait que ceux qui en font le commerce savent que leur clientèle est assurée, et n’ont donc pas besoin de faire beaucoup d’efforts pour les garder. Ensuite, ces codes alimentaires propres aux juifs et aux musulmans ne font que lever des barrières entre eux et les autres, et c’est le propre du Diable que de vouloir diviser les hommes et semer la discorde entre eux. En effet, nous savons tous à quel point il peut être compliqué, voire impossible, d’inviter à manger un juif ou un musulman quand on ne mange pas casher ou halal, et combien cela les isole et les stigmatise de ne pas manger la même nourriture que les autres, ce qui peut leur être très préjudiciable aussi bien sur le plan personnel que professionnel, et ce qui favorise le communautarisme et le racisme. C’est pourquoi le verset ci-dessus dit: “Vous sont permises, aujourd’hui, les bonnes nourritures. Vous est permise la nourriture des gens du Livre, et votre propre nourriture leur est permise“, car la loi de Dieu est universelle, pleine de bon sens, et sert à unifier les hommes plutôt qu’à les diviser. La loi de Dieu n’est pas arbitraire et dénuée de sens comme les lois inventées des juifs et des musulmans, mais autorise tout simplement ce qui est bon pour les hommes et leur interdit ce qui est mauvais. C’est Allah Seul qui peut déclarer ce qui est licite et ce qui ne l’est pas, alors que musulmans et juifs ont créé leurs propres règles qu’ils sont bien les seuls à suivre, et ils s’y accrochent coûte que coûte malgré leur aberration et tous les problèmes qu’elles engendrent sur eux, ce qui est bien le signe de leur égarement manifeste.
Ceux qui suivent le Messager, le prophète gentil qu’ils trouvent écrit (mentionné) chez eux dans la Thora et l’Evangile. Il leur ordonne le convenable, leur défend le blâmable, leur rend licites les bonnes choses, leur interdit les mauvaises, et leur ôte le fardeau et les jougs qui étaient sur eux. Ceux qui croiront en lui, le soutiendront, lui porteront secours et suivront la lumière descendue avec lui; ceux-là seront les gagnants. S7:V157
O les croyants: ne déclarez pas illicites les bonnes choses qu’Allah vous a rendues licites. Et ne transgressez pas. Allah, (en vérité,) n’aime pas les transgresseurs. S5:V87
Il vous a, en effet, interdit (la chair) de la bête morte, le sang, la chair de porc, et la bête sur laquelle un autre nom que celui d’Allah a été invoqué. Mais quiconque en mange sous contrainte, et n’est ni rebelle ni transgresseur, alors Allah est Pardonneur et Miséricordieux. Et ne dites pas, conformément aux mensonges proférés par vos langues: «Ceci est licite, et cela est illicite», pour forger le mensonge contre Allah. Certes, ceux qui forgent le mensonge contre Allah ne réussiront pas. Ce sera pour eux une piètre jouissance, mais un douloureux châtiment les attend. Aux Juifs, Nous avions interdit ce que Nous t’avons déjà relaté. Nous ne leur avons fait aucun tort; mais ils se faisaient du tort à eux-mêmes. S16:V118
Il faut bien être conscient que le Coran s’adresse à toutes les époques, et en premier lieu, il s’adressait aux Anciens Arabes. Il est donc important de connaître son contexte de révélation afin de comprendre le sens et le choix des tournures de certains versets. A l’époque des Anciens Arabes, il n’y avait pas d’athées au sein de la société, les Arabes étaient partagés entre les cultes païens et les religions du Livre comme le christianisme, judaïsme, sabéisme, hanéfisme, …, etc. Quand, les Anciens Arabes avaient besoin de viande, ils ne l’achetaient pas comme nous en magasin, mais sacrifiaient leurs propres bêtes qu’ils prenaient de leur cheptel ou qu’ils achetaient vivantes dans les marchés (on retrouve encore cette pratique dans beaucoup de pays orientaux où on achète la bête vivante et on la sacrifie sur place au moment de son achat). L’élevage de masse n’existait pas comme cela est le cas aujourd’hui, et la viande était donc une denrée extrêmement rare et précieuse, et cela n’était pas exclusif aux Anciens Arabes. Le sacrifice d’une bête était donc quelque chose d’exceptionnel et servait à fêter des événements importants. Ces sacrifices étaient systématiquement accompagnés de rituels religieux propres à la religion suivie par la personne qui l’opérait. Les païens avaient pour coutume de sacrifier leurs bêtes tout naturellement en l’honneur de leurs nombreuses divinités, alors que les gens du Livre le faisaient au nom du Dieu Unique. Consommer la viande d’une bête vouée à une divinité autre qu’Allah était donc une souillure et une abomination, tout comme consommer un aliment sur lequel de la sorcellerie a été opérée. Voilà pourquoi Allah interdit aux croyants de consommer la chair de bêtes vouées à autre que Lui:
O les croyants! mangez des (nourritures) licites que Nous vous avons attribuées. Et remerciez Allah, si c’est Lui que vous adorez. Certes, Il vous interdit la chair d’une bête morte, le sang, la viande de porc et ce sur quoi on a invoqué un autre qu’Allah. Il n’y a pas de péché sur celui qui est contraint sans toutefois abuser ni transgresser, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux. S2:V172-173
Dans les versets ci-dessous, on peut voir que le Coran se veut on ne peut plus explicite sur ce point en utilisant cette tournure particulière consistant à affirmer une même chose en utilisant à la fois la tournure affirmative et négative: “Mangez donc de ce sur quoi on a prononcé le nom d’Allah… ne mangez pas de ce sur quoi le nom d’Allah n’a pas été prononcé, car ce serait (assurément) une perversité“. Comme je viens de vous expliquer, du temps des Anciens Arabes, les sacrifices de bêtes étaient toujours accompagnées de cérémonies religieuses vouées aux divinités adorées. Le verset “ne mangez pas de ce sur quoi le nom d’Allah n’a pas été prononcé, car ce serait (assurément) une perversité” se veut on ne peut plus clair: si le nom d’Allah n’est pas prononcé au moment du sacrifice de la bête, cela est à comprendre dans le sens qu’un autre nom a été prononcé dessus, et c’est là où réside justement la “perversité” mentionné dans ces versets. Aujourd’hui, la situation est complétement différente, l’abattage des animaux se fait complétement à la chaîne et ne revêt plus aucun caractère religieux, rien n’oblige donc à prononcer le nom d’Allah sur les animaux avant de les sacrifier ou à ce que le sacrificateur soit musulman.
Mangez donc de ce sur quoi on a prononcé le nom d’Allah si vous êtes croyants en Ses versets (le Coran). Qu’avez-vous à ne pas manger de ce sur quoi le nom d’Allah a été prononcé? Alors qu’Il vous a détaillé ce qu’Il vous a interdit, à moins que vous ne soyez contraints d’y recourir. Beaucoup de gens égarent, sans savoir, par leurs passions. C’est ton Seigneur qui connaît le mieux les transgresseurs. Evitez le péché apparent ou caché, (car) ceux qui acquièrent le péché seront rétribués selon ce qu’ils auront commis. Et ne mangez pas de ce sur quoi le nom d’Allah n’a pas été prononcé, car ce serait (assurément) une perversité. Les diables inspirent à leurs alliés de disputer avec vous. Si vous leur obéissez, vous deviendrez certes des associateurs. S6:V118-121
Le verset “Qu’avez-vous à ne pas manger de ce sur quoi le nom d’Allah a été prononcé? ” fait notamment allusion à certaines autres fausses règles inventées par les païens, interdisant par exemple de manger la viande de certaines bêtes, même si le nom d’Allah a été prononcé dessus.
(Il en a créé) huit, en couples: deux pour les ovins, deux pour les caprins… dis: «Est-ce les deux mâles qu’Il a interdits ou les deux femelles, ou ce qui est dans les matrices des deux femelles? Informez-moi de toute connaissance, si vous êtes véridiques»…deux pour les camélidés, deux pour les bovins… Dis: «Est-ce les deux mâles qu’Il a interdits ou les deux femelles, ou ce qui est dans les matrices des deux femelles? Ou bien étiez-vous témoins quand Allah vous l’enjoignit?» Qui est donc plus injuste que celui qui invente un mensonge contre Allah pour égarer les gens sans se baser sur aucun savoir? Allah ne guide pas les gens injustes. S6:V143-144
Le Coran traite tous les cas de figures et s’adresse à toutes les époques depuis sa révélation, il est donc important de prendre en considération tous les versets concernant un sujet spécifique afin de comprendre ce que Dieu a légiféré pour notre cas en particulier. Nous concernant aujourd’hui, voilà ce que le Coran a légiféré de façon on ne peut plus explicite:
Dis: «Dans ce qui m’a été révélé, je ne trouve d’interdit, à aucun mangeur d’en manger, que la bête (trouvée) morte, ou le sang qu’on a fait couler, ou la chair de porc – car c’est une souillure – ou ce qui, par perversité, a été sacrifié à autre qu’Allah». Quiconque est contraint, sans toutefois abuser ou transgresser, ton Seigneur est certes Pardonneur et Miséricordieux. S6:V145
Selon la véritable règle de Dieu, il est autorisé de consommer toute viande, “halal” ou non (de toute façon ce concept est une pure invention des musulmans), excepté la viande de porc, ou de boire du sang liquide, ou de manger de la viande d’un animal vouée à autre qu’Allah. Aujourd’hui, la viande non halal n’est en rien vouée à autre qu’Allah, n’est en rien issue de bêtes mortes, et peut donc être considérée comme totalement licite. Dieu autorise même à consommer de la viande de porc ou voué à autre que Lui si on n’a pas le choix, soit parce qu’on y est forcé, soit parce que révéler nos croyances pourrait être dangereux pour nous, soit parce qu’il n’y a rien d’autre à manger, sans toutefois chercher à transgresser ou à abuser, c’est à dire à en consommer plus que nécessaire.
Conclusion
Les musulmans et les juifs se sont une fois de plus isolés des autres en créant leurs propres règles alimentaires sous les concepts inventés de “halal” et de “casher”, décrétant eux-mêmes ce qui est licite et ce qui ne l’est pas, alors que les versets de Dieu à ce sujet sont simples et clairs. Leurs inventions ne font qu’accroitre davantage leur égarement et leur compliquer la vie, et au final ils sont les seuls perdants. La véritable règle de Dieu est on ne peut plus simple et pleine de bon sens: toute viande est licite, excepté la viande de porc car c’est une souillure, la viande de bête morte car elle représente un poison pour les hommes, et la viande de bêtes sacrifiées pour autre qu’Allah car c’est une perversité. La viande dite “non halal” ou “non casher” ne rentre pas dans ces différents cas de figure, et est donc parfaitement licite en regard du Coran. Vous ne commettez donc aucun péché à consommer de la viande achetée en supermarché ou chez votre boucher du coin, ou à manger de la viande dans n’importe quel restaurant, ou à manger de ce que les gens vous offrent à manger chez eux, excepté la viande de porc. Dieu veut la facilité pour nous, alors que ceux qui ont une maladie dans le cœur cherchent la difficulté et la tortuosité. Dieu nous commande de suivre ce qu’Il a fait descendre et de Le prendre Lui pour Seul Guide, et non pas de suivre ce que nos ancêtres nous ont transmis et de prendre pour intermédiaires nos dignitaires religieux. Cette parole atteindra sans mal le vrai croyant, et laissera de marbre celui qui n’en a que l’apparence, et qui au final n’est rien d’autre qu’un sectaire et un associateur, dont le but est simplement de perpétuer les croyances de ses ancêtres sans jamais les questionner.